Trilogie Wyatt-Reeves


En 2011, c'est le redémarrage de la saga qui est produit avec La Planète des singes: les Origines réalisé par Rupert Wyatt, suivi en 2014 par La Planète des singes: L'Affrontement, cette fois ci réalisé par Matt Reeves comme le dernier en 2017 nommé La Planètes des singes: Suprématie.


Le premier film met en scène un scientifique (James Franco) qui tente de développer un remède contre la maladie d'Alzheimer, son propre père (John Lithgow) est atteint par cette maladie. Son équipe teste un rétrovirus sur des cobayes chimpanzés, qui voient rapidement leurs facultés cognitives augmenter. Une femelle chimpanzé capturée sème la panique dans le laboratoire, il se trouve qu'elle venait de mettre bas un chimpanzé, le scientifique recueille alors le bébé appelé César...

Le deuxième film parle d'une grippe simienne qui en seulement dix ans a décimé une grande partie de l'humanité. Un groupe de survivants voulant rétablir le contact avec le monde extérieur doivent rentrer dans le territoire des singes pour avoir accès à un barrage hydroélectrique. Le fragile équilibre entre ces deux camps est perturbé et la peur mène à l'affrontement. 

Le troisième et dernier film se passe deux ans après avoir affronté les hommes et Koba, César et les singes vivent loin des hommes dans une forêt mais ils se retrouvent attaqués par les hommes du colonel McCullough (Woody Harrelson), un homme qui cherche à retrouver César pour installer la domination des hommes sur les primates. Pour être calme ils devront faire route vers une nouvelle terre.

CRITIQUE SUBJECTIVE:

Je vais parler de Planètes des singes: Suprématie, et seulement donner les notes pour les autres films. Le premier, 15/20 et le deuxième 16/20. Le dernier est le meilleur et rentre dans mes films préférés, énormément de scènes d'émotions qui marchent, la scène d'ouverture est hallucinante, les singes sont...  réels grâce à la modélisation qui a encore progressé. Je tiens à parler aussi de la performance d'Andy Serkis qui EST César, il arrive à faire passer les expressions, mêmes légères, à travers le singe, ce qui est aussi possible grâce à la motion capture. Matt Reeves ne se contente pas de mettre en scène une guerre attendue, mais il interroge également son personnage principal, bref ce film a quelque chose à raconter. Il mérite la note de 18,3.


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